Le projet de réforme des pensions présenté par Jan Jambon (N-VA, photo) prévoit que les périodes de maladie de longue durée continuent de peser lourdement dans le calcul du malus appliqué en cas de départ anticipé. Jusqu’ici, ces années n’étaient pas prises en compte. Le ministre des Pensions propose bien une « correction » pour atténuer l’impact, mais celle-ci est jugée largement insuffisante par les syndicats.
Selon les calculs, une personne ayant travaillé dès 18 ans mais comptant 12 années de maladie devrait prolonger sa carrière jusqu’à 66 ans pour éviter le malus, malgré une carrière de 43 ans. Le gouvernement, qui a déjà donné son feu vert à un système de bonus-malus, entend ainsi décourager les départs anticipés sans carrière complète.
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