Candidat à la présidence des jeunes MR du Bruxelles, le jeune homme partage avec 21news les raisons de son engagement.
21News : Pourriez-vous nous retracer la genèse de votre engagement politique ; en commençant peut-être par votre formation ?
S.G. : Au départ, je suis armé d’une formation universitaire juridique. J’ai travaillé notamment dans le cabinet de Françoise Schepmans lorsqu’elle était première échevine en 2023 et je travaille encore avec elle au parlement bruxellois, où j’officie en qualité de collaborateur parlementaire. Plus tôt, je gravitais dans les cercles universitaires libéraux où j’avais de menues fonctions, puis j’ai pris un certain galon ; organisant notamment des débats avec les chefs de parti au sein de l’université. Ce sont ces débats notamment, qui étaient fort médiatisés, qui m’ont donné envie de m’engager. J’étais dans un premier temps une sorte de libéral « électron libre », puis m’est venu que si je voulais avancer, il fallait que je m’inscrive dans un parti, ce qui a été fait – au MR – il y a trois ans et demi.
Je me suis présenté aux élections communales sous les couleur du parti – où j’ai fini deuxième suppléant. Ce n’est donc en somme « que le début » de mon engagement ; en tout cas et je l’espère. Je me sens bien dans ma section locale, mais aussi au sein du parlement bruxellois en compagnie des députés du parti. Ce sont des gens en compagnie desquels je me vois évoluer sur le long terme.
21News : Pourquoi vous identifiez-vous comme un libéral ?
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