Zohran Mamdani, 34 ans, socialiste “décolonial” et star montante du Bronx à Astoria, pourrait devenir le prochain maire de New York. Fils d’un intellectuel anti-israélien et d’une cinéaste financée par le Qatar, il incarne une nouvelle gauche américaine où le mot “progressiste” rime de plus en plus avec “anti-sioniste”. Un rapport d’ISGAP sonne l’alarme : c’est la conquête du pouvoir par l’alliance rouge-verte.
Derrière ses airs d’activiste des quartiers populaires, Zohran Mamdani est tout sauf un enfant du peuple. Né à Kampala, élevé dans le Queens, diplômé d’un campus hors de prix (Bowdoin College, 170.000 dollars les trois ans), il se présente comme la voix des “opprimés”. En réalité, il est l’héritier d’une gauche universitaire radicale.
Son père, Mahmood Mamdani, professeur à Columbia, a comparé Israël à l’Allemagne nazie et plaidé pour “démanteler l’État juif” – au nom de la paix, bien sûr. Sa mère, Mira Nair, cinéaste adulée par Hollywood et subventionnée à coups de millions par le Qatar, boycotte Israël au nom du BDS. Résultat : un fils qui parle de justice sociale mais pense en termes de colonisateurs et de colonisés.
De “Globalize the Intifada” à la mairie de New York
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