Le président du MR, Georges-Louis Bouchez, a profité dimanche de l’émotion suscitée par l’assassinat de l’influenceur américain Charlie Kirk pour décocher une violente charge contre la gauche.
Devant les militants rassemblés à Walibi pour les Estivales du MR, le président du MR (photo) a martelé : « No pasaran au Vlaams Belang, no pasaran au PTB. » Et d’ajouter : « Tout oppose le projet libéral à Charlie Kirk, mais personne ne doit mourir pour ses idées. » Stupéfait, dit-il, par les réactions de militants et responsables de gauche se réjouissant de la mort du polémiste, Bouchez a dénoncé une culture de la violence politique. « S’il n’y a pas de place pour les fascistes, il n’y en a pas davantage pour les communistes et autres extrémistes qui, persuadés d’incarner le bien, s’autorisent à recourir à la violence. »
Dans la ligne de sa « guerre culturelle » contre la gauche, le patron des libéraux francophones a aussi ciblé la « culture politisée », qu’il oppose à une « culture libre et dépolitisée ».
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