Alors que le pays fêtait la fête nationale, l’ambiance était loin d’être à la célébration dans les rangs de l’opposition, suite à l’accord d’été du gouvernement. Conclu au cœur de la nuit, l’accord a été vivement critiqué pour ses mesures jugées antisociales.
Le Premier ministre a présenté les grands axes : réforme des pensions, réforme fiscale, modernisation du marché du travail et encadrement des soins de santé. Un train de réformes que le patronat salue, mais que la gauche qualifie de « brutal » et « injuste ».
Pour le PTB, cet accord marque “le plus grand recul social en quarante ans” en matière de droit du travail. La cheffe de groupe Sofie Merckx prévient : “Cet accord d’été glacial va se heurter à un automne chaud”. Le parti d’extrême gauche dénonce notamment l’extension massive des heures supplémentaires non imposées, la fin de l’interdiction du travail de nuit, et la remise en cause du temps de travail hebdomadaire minimum. “La Belgique risque de devenir un Far West social”, accuse Merckx.
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