Je n’avais pas prévu d’aimer Squid Game. Malgré les conseils répétés d’un collègue brillant et connaisseur. J’étais même persuadé du contraire. Une série sur des jeux mortels, saturée de violence et de hype, ça ne devait pas être pour moi. Devant l’insistance de mes ados, je me suis donc lancé. Et, dès les premières minutes, je me suis retrouvé happé, les yeux rivés à l’écran, incapable de décrocher.
La première surprise vient du mélange de genres. Bien sûr, il y a l’adrénaline d’un survival game impitoyable, mais ce n’est jamais gratuit. Chaque partie est rythmée comme un thriller, mais traversée d’émotions dignes d’un drame social. Le rire, parfois, s’invite aussi, grinçant, presque absurde. Tout cela forme un cocktail détonnant, addictif, qui dépasse largement les clichés du genre.
Ensuite, il y a ce rythme narratif implacable, pensé pour qu’aucun épisode ne laisse indifférent. Chaque fin est un piège, un précipice dramatique qui vous fait basculer non pas dans une autre dimension, mais vers l’épisode suivant. On se dit : « Encore un », et l’on se retrouve embarqué, sans défense.
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