L’Organe belge de coordination pour l’analyse de la menace (OCAM) a écrit dans un rapport confidentiel que le mouvement climatique belge Code Rouge s’est radicalisé. « Certains groupes sont extrémistes et ont recours à la violence. » Le citoyen belge moyen aurait déjà pu le constater par lui-même : le mouvement climatique s’est aujourd’hui rassemblé autour des écoterroristes.
Ce qui a le plus surpris après la fuite de ce rapport confidentiel, c’est que les activistes climatiques de Code Rouge recevaient énormément de subventions de toutes sortes d’autorités. Ainsi, la ville de Gand accorde chaque année plus de 100.000 euros de subventions à « Labo ASBL », un groupuscule d’extrême gauche qui a participé activement aux récentes destructions d’entreprises orchestrées par Code Rouge. On prétend que 80 % de cette somme serait destinée aux coûts salariaux. Le gouvernement flamand, lui, accorde chaque année 230.000 euros à la même organisation.
L’ASBL gantoise Labo n’est qu’une des nombreuses associations qui participent aux actions violentes de Code Rouge. Celles-ci consistent principalement en la destruction d’entreprises comme OIP, TotalEnergies, Cargill (photo), ArcelorMittal, etc.
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