L’ancien entraîneur des Belgian Tornados, préoccupé par la situation bruxelloise, estime qu’« il est temps d’arrêter de se tirer dans les pattes ». Et propose de sanctionner les responsables politiques au portefeuille s’ils n’aboutissent pas.
21News : Que vous inspire la situation politique bruxelloise, vous qui connaissez bien la ville ?
Jacques Borlée : Mon appel Facebook (voir ci-dessous), se voulait clair. Il faut arrêter de se taper dessus et trouver une solution. Nous creusons notre tombe avec l’aggravation quotidienne du déficit de quatre millions d’euros ; cela devient abyssal. Après treize mois de négociations infructueuses, j’en appelle à la responsabilité des banques pour qu’elles arrêtent de financer ce désastre. Lorsque je lis la presse, ce n’est que « c’est de la faute de l’un, ou de l’autre », sans que l’esquisse d’une solution soit trouvée. Or non ; il faut se mettre à table, et ne pas la quitter tant que l’on a pas trouvé de solution.
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