**L’université française voulait regarder en face la montée de l’antisémitisme. Elle n’en aura finalement pas le droit. L’enquête commandée par le ministère de l’Enseignement supérieur au Cevipof pour mesurer objectivement le phénomène a été purement et simplement annulée, **explique Le Figaro, après une intense campagne menée par des enseignants, des syndicats de gauche et relayée par La France insoumise. Un cas d’école de pression politique aboutissant à l’abandon d’un travail scientifique avant qu’il ne commence.
À l’origine, l’intention était claire : « qualifier, quantifier et analyser » la situation dans le monde académique, marqué par une série d’agressions antisémites et de polémiques depuis le 7 octobre.
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