Marc, 42 ans, habitant de Liège, pensait avoir trouvé un petit investissement sûr : une maison à Charleroi qu’il pourrait louer à des personnes modestes. Son objectif était simple : offrir un logement correct tout en générant un revenu stable. Mais ce qui devait être un projet raisonnable s’est transformé en véritable calvaire, au point de menacer sa stabilité financière et personnelle.
Le premier locataire semblait sérieux au départ. Trois mois seulement après l’emménagement, les paiements de loyer ont cessé. Marc a dû entamer une procédure judiciaire longue et épuisante. « J’ai perdu plus d’un an à courir après un locataire qui ne voulait rien payer », raconte-t-il. La situation s’est résolue avec l’expulsion du locataire, mais le traumatisme était déjà là.
Pensant pouvoir tourner la page, Marc a reloué son bien. Mais neuf mois après l’arrivée du deuxième locataire, l’histoire s’est répétée. Non seulement le loyer n’était plus payé, mais le locataire a commencé à dégrader la maison de manière volontaire, détruisant murs, installations et équipements. Selon Marc, l’objectif semblait clair : faire reconnaître le logement comme insalubre afin d’être relogé en priorité par le CPAS.
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