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Denis Ducarme sur le site des attaques terroristes : « On a sous-évalué en Europe le traumatisme du 7 octobre pour les Israéliens »

par Nicolas de Pape

21News a accompagné une délégation en comp​agnie de Denis Ducarme,  député MR. M. Ducarme a pu se rendre compte que deux ans après l’attaque du 7 octobre 2023, la plus meurtrière contre Israël depuis sa création, le souvenir demeure brûlant. Massacres, enlèvements, guerre à Gaza, fracture israélienne, importation du conflit en Belgique : retour sur un choc historique dont les répliques se font encore sentir, alors que l’espoir d’une paix durable reste suspendu au plan Trump.

Vous vouliez absolument être présent le 7 octobre sur les lieux du massacre. Pour quelle raison ?

Je voulais venir l’année dernière. Je n’avais pas pu. J’avais été très marqué, évidemment par l’attaque du 7 octobre, qui causa la mort de 1.219 Israéliens et l’enlèvement de 251 personnes. Mais également par le film Bearing Witness, monté à l’issue des attaques et dont j’avais contribué à la diffusion au Parlement fédéral. Heureusement, aujourd’hui il y a des espoirs de paix. Mais la guerre qui fait rage et le drame humanitaire ont commencé ici, le 7 octobre 2023. Le papier et les films, c’est bien, mais je savais qu’en venant ici j’aurais l’occasion de rencontrer des survivants de l’attaque et de mieux comprendre encore.

Quelle est la signification du 7 octobre ?

Le 7 octobre 2023, c’est la plus grande attaque terroriste depuis le 11 septembre. C’est le Hamas qui, aveuglément, est venu massacrer enfants, femmes, hommes, vieillards, simplement parce qu’ils étaient juifs. Mais ce n’est pas seulement un acte terroriste : c’est aussi un acte de guerre puisque les soldats du Hamas ont pénétré en territoire israélien pour commettre l’horreur. Le 7 octobre, c’est donc aussi le début de la guerre.


Quel autre pays, en Europe ou ailleurs, aurait laissé plus de 1.200 de ses ressortissants massacrés sur son territoire sans prendre de mesures de rétorsion ? Une guerre qui conduit au drame humanitaire que l’on connaît aujourd’hui.

Aujourd’hui, deux ans après, a-t-on tendance à l’oublier ?

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