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Du Maroc au Népal, les réseaux sociaux ont un impact de plus important dans les contestations politiques

par J.PE

Longtemps accusée d’indifférence politique, la Génération Z bouscule les certitudes. Des places de Katmandou aux boulevards de Casablanca, les jeunes connectés transforment la rue grâce aux réseaux sociaux, réinventant les codes de la mobilisation. Une contestation qui se veut apolitique, spontanée et résolument horizontale.

Au Népal, pays réputé pour son calme relatif, les images du Parlement en flammes ont fait le tour du monde en septembre dernier. Relayées sur TikTok et Instagram, elles témoignent d’un mouvement inédit, porté par des jeunes de 18 à 28 ans, qui utilisent Discord pour débattre, organiser des votes et désigner des figures temporaires. Face à une élite accusée d’immobilisme et de corruption, ces militants numériques ont défié le blocage des plateformes en recourant massivement aux VPN.

Au Maroc, c’est sous la bannière de « GenZ 212 » qu’a émergé un collectif se revendiquant apolitique. Dans les rues de Rabat, Casablanca (photo) et Marrakech, les slogans scandés réclament la fin de la corruption, un système de santé digne de ce nom, ainsi qu’une école publique de qualité. L’impopularité du gouvernement d’Aziz Akhannouch alimente cette colère, devenue virale grâce à des vidéos largement partagées sur X et TikTok.

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