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Le patron d’Ice-Watch victime d’un vol de bagage dans le TGV Luxembourg–Paris

par Rédaction
BELGA PHOTO JEAN-LUC FLEMAL

Jean-Pierre Lutgen, dondateur d’Ice-Watch

Selon des informations rapportées par Sudinfo, Jean-Pierre Lutgen, fondateur d’Ice-Watch, s’est fait dérober une valise alors qu’il arrivait à Paris. L’homme d’affaires a lancé un appel sur Facebook, promettant une récompense pour récupérer des documents de travail jugés essentiels.

Lorsque le TGV en provenance de Luxembourg s’est arrêté mardi à Paris, le patron d’Ice-Watch a découvert qu’une de ses deux valises avait disparu du compartiment à bagages. « J’ai couru sur le quai en espérant voir quelqu’un partir avec ma valise, mais rien ! », raconte Jean-Pierre Lutgen. Il n’a retrouvé qu’un seul de ses bagages, pourtant clairement étiquetés avec ses coordonnées. Le contrôleur lui aurait simplement répondu qu’« il appartient au voyageur de faire attention ».

Au premier étage de la première classe, Lutgen affirme qu’il lui était impossible de surveiller ses valises, qu’il avait malgré tout pris la peine de monter lui-même.

Une valise sans traceur et une récompense à la clé

Ironie du sort pour l’entrepreneur : alors qu’il vend également des traceurs Ice-tags destinés à géolocaliser les objets volés, la valise dérobée n’en était pas équipée. « J’en ai quinze sur d’autres objets, mais pas sur celle-là… Le cordonnier est toujours le plus mal chaussé », sourit-il.

La valise Rimowa contenait certes quelques effets personnels, mais surtout des documents de travail, des magazines économiques et des notes indispensables à des négociations en cours. « Le voleur ne pourra rien en tirer », assure-t-il. S’y trouvaient également une clé et des papiers liés à la vente d’une voiture.

Afin de maximiser ses chances de la récupérer, Lutgen a publié un message sur Facebook promettant une « forte récompense ». Pressé de préciser, il concède : « On va commencer à partir de 1.000 euros. »

L’homme d’affaires espère que le voleur — ou toute personne ayant retrouvé la valise — lira son appel. « Comme il a mes coordonnées, il peut me contacter. Je suis prêt à lui pardonner. »

La Rédaction

(BELGA PHOTO JEAN-LUC FLEMAL)

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