Au nom de la protection des mineurs, la régulation des plateformes numériques va s’accroître, en Europe. Mais pour les responsables belges, les mesures préconisées par la Commission ne vont pas assez loin. Quid du rôle des parents ?
C’est l’une des suites logiques du Digital Services Act (DSA) : la Commission européenne a lancé, lundi, un prototype d’application destiné à vérifier l’âge des internautes. Cinq pays se sont lancés dans le projet pilote : le Danemark, l’Espagne, la France, l’Italie et la Grèce. Cette application test doit permettre aux plateformes dont le contenu est réservé aux adultes de s’assurer que les visiteurs ont bien atteint l’âge de la majorité. Les informations à caractère personnel (identité, âge exact) seront, elles, préservées.
En parallèle, la Commission a émis de nouvelles lignes directrices visant à renforcer le DSA dans le but, toujours avoué, de protéger les internautes mineurs. Le cyberharcèlement, les pratiques numériques addictives ou les contenus préjudiciables figurent dans le collimateur de ce texte amendé.
Abonnez-vous pour lire l'article en entier.
Apportez votre soutien à la rédaction de 21News en souscrivant à notre contenu premium.