Après la « guerre des 12 jours » de juin 2025 et la mise à nu de ses faiblesses militaires, l’Iran apparaît plus fragile que jamais. Un rapport publié par la Henry Jackson Society plaide pour une stratégie occidentale assumée de déstabilisation et de renversement du régime des mollahs, seul moyen de mettre fin à son double projet : le nucléaire militaire et l’exportation du terrorisme.
Outre l’extraordinaire sécheresse qui frappe l’Iran et ses grandes villes en cet été 2025, le rapport rappelle la succession de revers subis par Téhéran depuis 2024 : neutralisation de ses défenses aériennes, décapitation du Hezbollah, chute du régime Assad en Syrie, puis bombardements conjoints israélo-américains sur ses sites nucléaires de Fordow, Natanz et Ispahan. Le Guide suprême, cloîtré dans un bunker, a vu son aura religieuse fissurée. Pour la première fois, l’Iran a été tenu pour responsable de décennies d’actions hostiles – du massacre du 7 octobre 2023 au meurtre de plus de 1.000 soldats américains au Moyen-Orient.
Cette mise en échec marque une rupture : selon l’auteur, l’existence même du régime – et non seulement son programme nucléaire – constitue le problème. Tant que la République islamique subsiste, elle cherchera à rétablir ses forces, reconstruire ses centrifugeuses et relancer ses réseaux terroristes.
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