Comment expliquer qu’une personnalité comme Rima Hassan soit devenue l’égérie de cercles étudiants de l’ULB au point qu’ils souhaitent la désigner comme marraine de leur promotion ? Et pourquoi qualifient-ils de quasi fascistes ceux qui trouvent choquant d’utiliser comme héroïne une telle personnalité ?
Car rappelons qui est cette Franco-Palestinienne :
- Elle n’a jamais pris ses distances avec le dictateur syrien déchu Bachar el-Assad, dont le baasisme s’inspire directement du nazisme et dont le régime, selon The New Yorker, est responsable d’une grande partie des 620 000 morts du conflit, notamment par des méthodes d’une brutalité extrême.
- Elle qualifie l’Algérie de « Mecque des libertés » alors que pourrissent dans les prisons algériennes des centaines d’opposants politiques dont l’écrivain Boualem Sansal qui a été condamné à cinq ans de prison sans procès équitable.
- Elle affirme sur Sud-Radio que « tous les Israéliens sont des colons » et reprend à son compte le slogan génocidaire « Free Palestine from the River to the Sea » qui revient à la disparition pure et simple de l’Etat juif.
- Elle défend le Hamas, organisation terroriste qui utilise sa propre population comme bouclier humain et qui a récemment diffusé des vidéos montrant des otages israéliens en état de cachexie rappelant les fantômes des camps d’extermination.
Qu’un tel profil suscite l’admiration d’étudiants censés incarner nos futures élites interroge : aveuglement ? Déni ? Influence de la propagande palestiniste ? Ou simple volonté d’ériger ses convictions politiques sur le socle le plus discutable qui soit ?
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