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Les technocrates de l’UE enchaînent les revers

par Lode Goukens
Photo Belgaimage

Ces dernières semaines, les événements se sont accélérés. Les technocrates de la Commission européenne ont encaissé revers sur revers. L’interdiction des voitures à moteur thermique : abandonnée. La confiscation des avoirs russes chez Euroclear : abandonnée. La Première ministre italienne Giorgia Meloni, qui a fait la fine bouche et refusé d’approuver l’accord commercial avec le Mercosur : reportée. La digue cède-t-elle enfin ou n’est-ce qu’une illusion ?

En Belgique, le Premier ministre Bart De Wever (N-VA) a été célébré comme un vainqueur. Une sorte d’Astérix infligeant une gifle au César bruxellois. La Commission avait pourtant sorti l’artillerie lourde : campagne de dénigrement dans les médias, bots ukrainiens et autres attaquant la Belgique et son Premier ministre en ligne, professeurs pro-européens aux chaires de droit européen subventionnées omniprésents dans les médias. Tout le réseau technocratique européen a tourné à plein régime et, même après la défaite, certains ont continué à déverser leur fiel dans la presse.

Le fossé démocratique et le procès en populisme

Selon l’analyse dominante, les technocrates européens feraient face à une résistance croissante due à la montée des partis populistes. On évoque alors le fameux fossé entre l’élite technocratique et les citoyens. Un fossé béant qui apparaît de manière particulièrement visible lors des élections et des référendums.

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