Les deux figures du militantisme de gauche s’embarquent dans une aventure visant à « interpeller la communauté internationale ».
Rima Hassan et Greta Thunberg repartent à l’abordage. Non pas des crises réelles, mais de leur cible favorite : l’État hébreu. Ce dimanche 1er juin, la députée européenne proche de LFI embarquera à bord du navire Madleen, flanquée de militants propalestiniens, pour tenter de rallier Gaza par la mer. À ses côtés, Greta Thunberg, la figure suédoise en totale perte de vitesse de l’écologisme anxiogène, reconvertie depuis peu en « spécialiste » de géopolitique moyen-orientale.
Le but de cette opération médiatique, selon ses propres mots ? « Dénoncer le génocide », « lever le blocus humanitaire », « interpeller la communauté internationale ». Une mise en scène bien huilée, qui ne cache plus son objectif réel : délégitimer Israël et entretenir l’illusion d’un Occident complice de « crimes sionistes ».
Mais au-delà de la provocation, ce duo dit beaucoup de la dérive d’une certaine gauche européenne, qui confond engagement politique et haine de l’Occident, et se drape dans la pacifisme tout en flattant les pires propagandes. Rima Hassan avait déjà tenté à grand renfort de communication de rejoindre Israël, et avait été priée de faire demi-tour dès son arrivée à l’aéroport.
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