Interrogé par i24 News, le président du MR, Georges-Louis Bouchez a reprécisé les deux conditions sine qua non à la reconnaissance de la Palestine à l’ONU fin septembre : la libération de tous les otages israéliens et la disparition politique et militaire du Hamas de Gaza. Deux conditions « qui ont peu de chance de se réaliser rapidement ».
« Vous dites qu’on va bientôt reconnaître la Palestine… Il n’y a rien de plus faux ».
Reconnaissant que le ministre des Affaires étrangères, Maxime Prevot, sera vraisemblablement le représentant de la Belgique à l’ONU, GLB s’interroge : « Vous dites qu’on va bientôt reconnaître la Palestine… Il n’y a rien de plus faux. Il y a des conditions qui ont été posées : le retrait total du Hamas de la bande de Gaza et la libération de tous les otages. On ne peut pas dire que concernant le retrait du Hamas on y sera demain matin. Pour l’ouverture d’une ambassade en Palestine, il faut une autre condition : la reconnaissance, par les autorités palestiniennes et les pays arabes, d’Israël. Donc on n’est pas du tout à l’aube d’une reconnaissance… »
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