Le maire de Saint-Raphaël (Var) a inauguré ce samedi une stèle rendant hommage aux « cent millions de morts, victimes du totalitarisme communiste ». Les communistes et la gauche crient à la falsification de l’histoire.
Sur fond de polémique, un monument rendant hommage aux victimes du communisme a été inauguré, ce samedi à Saint-Raphaël (Var). La cérémonie a rassemblé environ 400 personnes. Aux côtés du maire Frédéric Masquelier (Les Républicains), on relevait la présence d’élus locaux, départementaux et régionaux, ainsi que du député RN Philippe Schreck.
Dans un discours d’une trentaine de minutes, le maire a comparé nazisme et communisme, affirmant que ces deux idéologies « sont les deux faces d’une même pièce ». Il a dénoncé un « silence organisé » autour des crimes commis au nom du communisme et défendu l’idée qu’honorer ses victimes ne revenait pas à effacer les autres mémoires.
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