Le vice-Premier ministre David Clarinval (MR) estime que la Belgique doit tenir sa position dans le dossier des avoirs russes gelés chez Euroclear.
21News : Sur les avoirs russes, la Belgique est sous pression. Peut-elle céder ?
David Clarinval : Nous sommes sous pression, c’est clair. On l’a encore vu avec la décision de la présidence de l’Eurogroupe. Clairement, le fait de ne pas désigner Vincent Van Peteghem est une mesure déjà de pression parmi d’autres, c’est la plus visible. Mais il y en a d’autres. Nous sommes sous pression, mais déterminés. Saisir unilatéralement 180 milliards d’euros sans base légale solide exposerait la Belgique à de lourdes représailles et à une fuite massive de capitaux.
Abonnez-vous pour lire l'article en entier.
Apportez votre soutien à la rédaction de 21News en souscrivant à notre contenu premium.